COMMUNIQUÉ DE PRESSE sur Patrick MOYA

MOYA PRESSE
 


MOYA // UNE GALERIE LA NUIT

MARDI 3 AVRIL @ SENS THEATRE CLUB
de 18H à 00H30

LE SENS - 13, rue du Congrès - 06000 NICE




EVENEMENT "UNIQUE" : LE CARNAVAL DE MOYA AU SENS !

Cédric Pignataro, carnavalier depuis quatre générations, a mis une nouvelle corde à son arc en ouvrant un « bar apéro », le SENS.
Et c'est Patrick Moya qu'il a choisi pour inaugurer ce nouveau haut lieu de la nuit niçoise, en accrochant aux cimaises des toiles issues du premier « char Moya » … Un char réalisé en commun, où l'on retrouvait tout l’univers Moya, respecté à la lettre par Cédric Pignataro : Dolly la brebis rose, l’éléphant bleu, le poussin et le pinochio, l’ours orange et l’âne gris …
A l'occasion de ce vernissage - qui aura lieu le mardi 3 avril 2012 de 18h à minuit 30 - seront installés dans le jardin deux de ces monumentales effigies de carton-pâte, le Cupidon et le Poussin géant !

LE CARNAVAL DE MOYA …

Depuis longtemps, Moya aime le carnaval, un thème qui correspond bien à sa vision d'un art "méditerranéen" ludique et humoristique. Ce qui ne l'empêche pas d'être à l'avant-garde des nouvelles technologies en inventant chaque année depuis 2010 un carnaval virtuel dans Second Life.
En 2009, Patrick Moya fut pour la première fois un des « ymagiers » du carnaval de Nice. Son char réalisé par Cédric Pignataro était une évocation des profils et des masques que nous nous fabriquons sur les réseaux sociaux : un gigantesque « moya » à lunettes, double décalé de l’artiste - tout à fait ressemblant, si ce n'est qu'il mesurait sept mètres de haut -  était assis devant un ordinateur, essayant sur son écran différentes têtes sur différents corps, faisant tourner les têtes comme autant de masques.
En 2010, Moya inventait un "carnaval virtuel", en parallèle au carnaval réel, qui avait lieu sur l'île Moya de Second Life et où défilaient une cinquantaine d'artistes du monde entier.
Cette année 2012, le Cyber Carnaval est devenu un must : il réunissait de nouveau des artistes et des internautes sur une reproduction 3D hyper-réaliste de la place Masséna. Connectés depuis leurs ordinateurs via leurs avatars, ils participaient à un immense "veglione" virtuel retransmis sur écrans géants.
L’oeuvre de Patrick Moya n’est-elle pas également une sorte de mascarade artistique où l’artiste se perd entre les différents avatars qui le représentent ?


PATRICK MOYA, L'ARTISTE QUI VIT DANS SON OEUVRE

Plasticien, performer et artiste numérique, Patrick MOYA cherche à être partout, érigeant en Asie de grandes sculptures en acier ou modelant dans l'argile en Italie des céramiques avec les lettres de son nom, passant des pinceaux à l'ordinateur, des soirées techno aux murs d'une chapelle, de l'art contemporain à l'art numérique, de la vie réelle aux mondes virtuels … Une démarche invasive et unique qui prend comme prétexte son nom et son image.
Né en 1955 à Troyes, Patrick MOYA fait des études d'art à la Villa Arson de Nice (1974-1977), avant de poser nu comme modèle aux beaux-arts (1979-1989) dans le but de devenir la créature et non le créateur. Tout en réfléchissant à la place de l'artiste dans le monde contemporain.
Il commence par réaliser des oeuvres uniquement avec les lettres de son nom, assimilant l’œuvre à sa signature, avant de marquer de son nom des images du dictionnaire et enfin, de créer son personnage (1997), autoportrait décalé bientôt entouré bientôt d'un bestiaire presque qu'humain, qui ensemble, forment son Moya Land.
Il possède aujourd'hui plusieurs îles virtuelles sur Second Life qui le fait considérer par le critique italien Mario Gerosa comme l'un des pionniers des univers virtuels. Il conçoit son île en 3D comme une oeuvre d'art globale : le créateur est enfin devenu une créature sous le nom de son avatar, Moya Janus, qui reçoit les visiteurs en les immergeant dans son univers.

En savoir plus : http://fcanarelli.free.fr/Moya-presseF1.htm

 

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