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![]() Oeuvre de Daniel Dezeuze
Bernard Pagès dans son atelier en 2006
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"L'objet de la peinture,
c'est la peinture elle-même"
Si tout est art et l'artiste mort, que reste-t'il
?
Déjà, chacun d'entre eux a choisi
sa voie, sa propre stratégie artistique : Viallat a inventé
depuis 1966 son gimmick (une forme de haricot écrasé) qu'il
répétera désormais partout, libérant également
la toile du châssis et l'imprégnant de couleurs qui transfèrent
sur l'envers.
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Claude Viallat, Jean-Pierre Arnal, Jean-Pierre Pincemin, Louis Cane
Un si bel été 70 L'été 1970 voit fleurir les manifestations
champêtres dans le sud de la France, depuis les Alpes Maritimes jusqu'au
Roussillon ; cet été-là, une douzaine d'expositions
eurent lieu en même temps, dans une prairie du petit village de Contes,
dans le lit du Paillon ou sur une plage niçoise, dans une carrière
du côté de Palavas …
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![]() Marcel Alocco en 1970 |
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Bernard Pagès, Daniel Dezeuze, Vincent Bioulès, Pierre Buraglio
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Claude Viallat libère
la toile du châssis
- "Le châssis c'est le crime",
pourrait dire Claude Viallat.
Aujourd'hui encore, Claude Viallat poursuit le même chemin : "déconstruire le tableau, repenser la peinture à partir de la notion de la fin de l'art, requestionner la peinture depuis ses origines. J'ai toujours eu un travail en spirale, qui est resté dans la même rotation" |
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