COMMUNIQUÉ DE PRESSE sur Patrick MOYA

MOYA PRESSE

 
Super Moya dans l'Hypermedia

 
Patrick MOYA est le seul artiste vivant à posséder une île à son nom dans l'univers virtuel de Second Life.
Située en face des îles Duchamp, Calder, Magritte, Klee … elle est devenue l'un des exemples du web du futur par l'utilisation optimum des possibilités offertes par Second Life.


Depuis quelques années, en parallèle de son travail de plasticien, Patrick MOYA est entré de plein pied dans le monde de l'hypermedia.
La numérisation de son personnage fut la première étape, donnant lieu à des toiles numériques, reproductions plus que parfaites de son univers. Son autoportrait façon manga est devenu un petit robot presqu'humain auquel il donne vie grâce à un logiciel de 3D.
Depuis lors, il réalise des films numériques de plus en plus sophistiqués dans lesquels il anime son univers, jouant le rôle du DJ vidéo pour les soirées techno Dolly Party (dont il est l'artiste résident), pratiquant l'incrustation d'images en live ou inventant une expo virtuelle où le spectateur se déplace au milieu d'oeuvres imaginaires. 
Déjà bien présent dans les mondes virtuels, l'artiste niçois vit également une "seconde vie" sous le nom de moya janus.
Après avoir créé, dans ce fascinant monde parallèle qu'est Second Life, le Moya Museum en 3D où il a installé une quantité considérable d'oeuvres réelles et virtuelles, l'avatar de Moya, doté d'ailes blanches, vêtu d'une combinaison colorée taguée aux lettres de son nom et suivi en permanence par deux de ses personnages, organise des vernissages et des expositions temporaires.
Passant à la vitesse supérieure, Moya investit une île à son nom, avec l'ambition d'en faire une oeuvre d'art globale, à partir d'oeuvres - peintures, sculptures, dessins, céramiques, photos - ou d'éléments d'oeuvres réelles existantes.
Facile pour un artiste qui a touché à tout au cours de sa carrière : tous les supports et tous les matériaux, mais aussi tous les sujets et tous les styles, tous les secteurs d'activité et toutes les professions.
Mais avec une constante : écrire son nom partout.
"Je suis moi-même la matière de mon oeuvre" pourrait dire Patrick Moya, en paraphrasant Montaigne.
Il en est ainsi sur l'ïle Moya : depuis la place Moya jusqu'à la chapelle Moya sur la colline du vieux Moya, en passant par les différents musées Moya, le centre commercial Moya, l'administration Moya et même la biennale de Moya… le nom de l'artiste est partout, dans tous les coins et recoins de cet univers voué corps et âme à MOYA. En cohérence parfaite avec sa démarche artistique.

La deuxième vie de Moya Janus

Visiter l'ile Moya, c'est entrer - physiquement, en immersion totale - par le biais de son avatar - à l'intérieur de l'univers d'un artiste.
Doté d'une créativité exubérante, Moya invente des solutions adaptées à ce nouveau monde qu'est Second Life, utilisant au maximum de leurs possibilités les scripts offerts par Second Life : ailes flexibles dans le dos de son avatar, rambardes ou grilles composées des lettres de son nom, sans compter de multiples effets a priori impossibles … Au point qu'on vient désormais sur son île pour solliciter ses conseils éclairés, l'ile Moya étant devenue un des exemples les plus novateurs de ce que sera le web du futur.
Mieux, profitant de la possibilité de se téléporter offerte à l'avatar, il crée un deuxième niveau à son île.
Car si le premier niveau est, comme on l'a vu, une manière de revisiter l'oeuvre toute entière, le deuxième est un laboratoire du virtuel, où s'inventent les oeuvres du futur, à 100% second life.
C'est là que Moya, jouant avec les outils de construction spécifiques à ce nouveau monde, nous offre des sculptures animées où de nombreux petits moya évoluent dans un rythme endiablé … Ou encore des formes géométriques variées qui tournent sur elles-mêmes en disant … MOYA bien sûr !
Depuis longtemps (dès ses études à la Villa Arson au début des années 70), Moya avait prévu l'avènement d'un monde en réseau, d'où son travail en arborescence - l'artiste étant à la racine de l'oeuvre.
D'où également ses affinités électives avec les univers virtuels.
Comme si l'oeuvre de Patrick Moya n'attendait que Second Life …
 


(photos libre de droits)

 
MOYAPATRICK.COM