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Patrick MOYA - BIOGRAPHIE 2017

MOYA PRESSE
 





Bibliographie rapide

- Moya, télé-artiste, (éditions Baie des Anges, 2018)
- Moya et la Dolly Party,
(éditions Baie des Anges, 2017)
- Les animaux de Moya,
(éditions Baie des Anges, 2016)
- Moya et le carnet des Desseins,
(éditions Baie des Anges, 2015)
- Le cas Moya (éditions Baie des Anges, mai 2015)

- L'art dans le nuage (éditions Baie des Anges, 2014)
- Moya fait son cirque (Baie des Anges, 2013)
- Catalogue raisonné (ArtsToArts éditions, 2011)
- La civilisation Moya, (IEM, 2011)
- Le carnaval des animaux (Siranouche éditions, 2011)
- Le bestiaire de Moya (éditions de la Huppe, 2010)
- L'Abécédaire de Moya (MPO, 2010)
- Le guide touristique de l’île Moya (Ciais, 2008)
- La chapelle Moya (Mélis édition, 2007)
- Le cas Moya (Ferrero collection, 2006)
- MOYA, Catalogue complet (Cudemo édition, 2003)

Site officiel : www.moyapatrick.com
Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Moya
Contact : moyapatrick@hotmail.com
BIO ULTRA EXPRESS 2018

Plasticien, performer et artiste numérique, Patrick MOYA cherche à être partout, érigeant en Asie de grandes sculptures en acier ou modelant dans l'argile en Italie des céramiques avec les lettres de son nom, passant des pinceaux à l'ordinateur, des soirées techno aux murs d'une chapelle, de l'art contemporain à l'art numérique, de la vie réelle aux mondes virtuels … Une démarche invasive et unique qui prend comme prétexte son nom et son image.
À Nice, où il vit et travaille, il est considéré comme un héritier de "L'Ecole de Nice".


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BIO EXPRESS DE MOYA 2018

Plasticien, performer et artiste numérique, Patrick MOYA cherche à être partout, érigeant en Asie de grandes sculptures en acier ou modelant dans l'argile en Italie des céramiques avec les lettres de son nom, passant des pinceaux à l'ordinateur, des soirées techno aux murs d'une chapelle, de l'art contemporain à l'art numérique, de la vie réelle aux mondes virtuels … Une démarche invasive et unique qui prend comme prétexte son nom et son image.

Né à Troyes en 1955, il fait des études d'art à la Villa Arson de Nice (1974-1977) :  influencé par les théories de la communication de Marshal McLuhan, il émet l’hypothèse que la télévision en direct et les nouveaux réseaux à venir bouleverseront l’histoire de l’art, transformant le créateur en créature.

Apres ses études, il prend le temps de poser comme modèle nu pour les écoles de beaux-arts (1979/1989), tout en réfléchissant sur le rôle de l'artiste.
Et c’est par «  le nom du père  » - MOYA - décliné sous de multiples formes, qu’il commence véritablement son aventure artistique,
assimilant l’œuvre à sa signature (1981). Puis, dans un stade du miroir prolongé, il travaille sur son Moi, inventant (1997) un autoportrait décalé, le petit « moya », créature qui tente de se libérer de son créateur pour vivre au centre de l’œuvre. Avant d’inventer son Moya Land, une «  civilisation Moya  » composée d’un bestiaire presque humain, qui tend à prouver que «  l’artiste est une civilisation à lui tout seul  ».

Refusant de s’enfermer ou de se limiter, Moya fonctionne en arborescence, non seulement en utilisant tous les médias à sa disposition, mais aussi en déclinant, mixant, remixant et revisitant son propre travail.

 En pionnier des univers virtuels, il a reconstruit son univers en 3D dans le monde fait de pixels de Second Life (2007) : le créateur est enfin devenu, par le biais de son avatar, une créature qui vit dans son oeuvre.




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BIOGRAPHIE 2019

Patrick Moya, l’artiste qui voulait vivre dans son oeuvre

Performer, plasticien et artiste numérique, Patrick MOYA mixte, mixe et remixe comme un DJ, tous les médias existants, anciens et nouveaux, mais aussi revisite sans cesse son propre travail dans le but ultime de « devenir une créature qui vit dans son œuvre. »,
À la manière d'un alchimiste, Il veut transformer, non pas le plomb en or, mais « le créateur en créature », ce qu’il explique grâce à une interprétation très personnelle des théories de McLuhan.

Né en 1955 à Troyes de parents d'origine espagnole, Patrick Moya a fait ses études à la Villa Arson (école de beaux-arts) de Nice avant de poser nu comme modèle pour les écoles de dessin durant dix ans, dans le but de « devenir la créature à la place du créateur » .
Car il a lu McLuhan et s'interroge avec lui sur les changements apportés à l'histoire de l'art par les nouveaux médias : « avec les médias d'ubiquité, comme le direct à la télévision, le créateur n'a plus le temps de raconter l'histoire de l'art ; il doit, pour exister, devenir créature ».
Après ce long épisode où il joue le rôle de Narcisse se mirant dans le regard des autres, il commence véritablement son œuvre en travaillant sur les lettres de son nom, M O Y A, assimilant l’œuvre à sa signature durant sa période Néo-Lettriste, avant de s'inventer (en 1996) un alter ego, son petit « moya », autoportrait caricatural inspiré de Pinocchio qui lui permet dès lors d'exister dans son œuvre.
En 1998, il entre à la galerie Ferrero, connue pour défendre à Nice le mouvement artistique Ecole de Nice.
Son œuvre devient prolifique, un univers personnel se dessine peu à peu, un bestiaire presque humain, réjouissant de drôlerie et de poésie, qui se tient debout en regardant le spectateur : en 1999, apparaît « Dolly », une brebis malicieuse conçue comme l'identité visuelle des soirées techno Dolly Party et qui deviendra un des personnages principaux de son « Moya Land ».
En juin 2007, il termine, après quatre ans de travail, la fresque murale d'une chapelle qui porte désormais son nom à Clans (petit village du haut pays niçois), et fait désormais partie du circuit des chapelles d’artistes.
Adepte depuis les années 2000 de la « live painting », Moya bat son record en 2013, lors une foire d'art italienne, avec une peinture, faite en deux jours, de 27 mètres de long !
Considéré également comme un artiste numérique depuis ses premiers travaux sur ordinateur MO5 au milieu des années 80, il possède aujourd'hui un nouveau « Moya Land » virtuel dans le web 3D de Second Life (SL), véritable « serious game » qui est l’aboutissement d’une démarche invasive devenue immersive.
En 2009, il participe à la « Renaissance virtuelle »  : c'était le titre de la première grande exposition des artistes de SL, qui eut lieu dans le musée d’anthropologie de la ville de la Renaissance italienne, Florence, où une salle entière était consacrée à la « Civilisation Moya ».
En 2011, une nouvelle « Civilisation Moya » voyait le jour sur les murs du centre d'art La Malmaison de Cannes : une fresque-installation de 90 mètres de long sur 4 mètres de haut qui racontait son parcours artistique. Cette exposition, reproduite à l'identique dans Second Life, permettait au visiteur de rencontrer l'avatar de l'artiste et de parcourir en sa compagnie son univers virtuel.

En résumé, grâce à son travail en arborescence, Moya est à la fois classique et baroque, abstrait et figuratif, réel et virtuel, narcisse et généreux, amoureux des spectacles populaires comme le cirque ou le carnaval aussi bien que l'objet d'un catalogue raisonné très sérieux retraçant 40 ans de création (4200 oeuvres répertoriées, 2011).

Tout en poursuivant son aventure artistique dans des galeries en Corée (Busan), aux USA (Cape Cod), en Italie (Caserta, Parma), au Luxembourg et bien sûr partout en France (Nice, Monaco, Marseille, Fontainebleau, Metz, Epinal …), avec des « live paintings »  dans des foires d'art en Italie (Padoue, Gênes, Rimini) ou en Allemagne (Cologne), avec des performances-installations à Cerveira (Portugal), Utrecht (Pays Bas), Malte ou Modica (Sicile), plus récemment à Caserta (Museo di Arte, 2015), à Mantova dans le Palazzo Ducale (2016, 14.000 visiteurs !), à Nice en 2018 (près de 12.000 visiteurs pour une grande "intro-retrospective" dans l'espace culturel du département 06. A Turin, dans le Palazzo Saluzzo Paesana, sur le thème « Dolly mon amour » (2018), ou encore à la Reggia di Caserta (palais royal de Caserta), dans le sud de l’Italie (2019), où Moya est devenu « Royal Transmedia »  … Aussi bien que dans son Moya Land virtuel et pourtant bien réel.

On trouve ses oeuvres dans des collections publiques : une monumentale sculpture en acier de 8 mètres (musée de Kaohsiung, à TaiWan, 1991), deux sculptures et une grande toile (Mamac de Nice, 1996), 2 grandes sculptures dans un parc (ville de Cap d’Ail, 2008), un cadran solaire (Coaraze, 2008), 2 toiles sur le thème du cirque (famille princière de Monaco, 2009), Un grande sculpture en résine (ville de Cannes, 2011), une toile de quatre mètres sur le thème du Moya Circus (Ville de St Raphaël, 2013), une grande sculpture « Dolly » (6 mètres de haut) à Busan (Corée du sud, 2013), une toile sur le thème de la Transhumance (St Etienne de Tinée, 2015), une stèle funéraire pour les Tout petits (Nice, 2015), une toile intitulée « Moyalisa » (Joconde) pour le musée d’art ancien et contemporain d’Epinal (2018) et une grande toile dans un hôpital (Pasteur 2 à Nice) …
 
L'art de Moya s'est virtualisé, comme l'a prouvé son livre de réflexion « L'art dans le nuage » (2012), tandis que le Moya Land virtuel est devenu réel par le biais d’oeuvres mixtes mêlant avatars fait de pixels, images 3D, peinture, photos de tableaux et reproduction en peinture de produits dérivés … Ou encore de personnages virtuels imprimés en 3D.


Photos ci-dessous (de gauche à droite) :
Moya  dans une Foire d'art en Italie
Affiche de l'exposition "Moya a Mantova"
Affiche de l'exposition "Moya Circus" à Caserta
Moya en action dans une live painting


  

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